Le Sourceur milite pour une agriculture raisonnée qui s’émancipe de l’utilisation des pesticides. À ce titre, le projet s’engage à respecter le cycle naturel des récoltes, à suivre des méthodes plus soucieuses de l’environnement, à limiter les zones d’exploitation des cultures ou encore à créer des espaces protégés pour assurer la pérennité des espèces et sauvegarder la biodiversité avec et pour les producteurs.
Le Sourceur utilise son savoir-faire au service d’une distillation plus responsable. Notre combat : réduire notre consommation en électricité, en eau ou encore en bois tout en conservant les propriétés exceptionnelles des matières. Une position qui nous conduit à développer des distilleries qui fonctionnent entièrement à l’énergie solaire actuellement testées aux Comores.
Conscient de l’impact environnemental qu’engendre lun site de vente en ligne, Le Sourceur vise à minimiser les conséquences de son action ; en développant des méthodes de livraison plus écologiques (dépôts relais, préférer le transport routier sur l’aérien) ou encore en réduisant ses déchets (minimum de packaging, systématiser le biodégradable).
C’est aider les populations locales. En favorisant la mise en place de filières en étroite collaboration avec des associations implantées sur le terrain (Coeur de Forêt, L’Homme & L’environnement, IRDNC) comme levier de développement et de réduction des inégalités, tout en veillant à la juste rétribution des producteurs. C’est aussi partager équitablement les revenus. En s’engageant pour un partage équitable des revenus entre le cultivateur, l’association exploitante et la marque. C’est enfin assurer la pérennité de la filière grâce à un modèle économique qui profite à tous.
Être transparent, c’est assurer une traçabilité complète de nos produits de leur culture par le producteur au stockage par nos soins. C’est démocratiser des matières premières rares et précieuses et permettre à chacun d’en connaître leur composition exacte. C’est aussi apporter des bilans réguliers sur le fonctionnement de nos filières et les revenus qu’elles apportent à l’ensemble des acteurs. Tout en mettant en place un cahier des charges précis afin de contrôler le respect des normes aussi bien pendant la culture que lors de la transformation de la matière : conditions de travail, respect des règles sanitaires, standards de qualité, etc.